Lette au Père Noël
Nous n’avons jamais été dupes des tractations qui sont menées dans notre dos.
Les effets d’annonces de début de semaine, où l’ensemble de nos revendications ont été retenues par les Ministères, nous n’y avons pas cru un instant.
Dans un établissement où intelligence et compétence sont inversement proportionnelles aux grades et aux fonctions, nous agents d’exécution ne croyons plus au Père Noël.
Que ceux qui sont tapis dans l’ombre et qui se verraient nous rejouer le coup de 1995 prennent garde.
Nous savons bien que comme par le passé, tel le rat moyen, ils vont essayer de rentrer par le petit trou pour récupérer les honneurs de notre mouvement.
Vous savez se sont les mêmes qui ont brillé par leur absence.
A nos chers syndicats, nous agents d’exécution, nous vous demandons d’être porteurs de nos revendications, celle de la révision de nos statuts (le passage de C en B ; et de B en A).
Nous ne voulons plus de ces primes qui ne sont qu’un écran de fumée.
Sachez compter sur notre mobilisation sans faille si vous mettez rapidement en œuvre nos revendications par un mouvement de grande ampleur.
Si toutefois vous étiez tentés de rejouer avec ces professionnels du double langage, vous savez ceux de 95, nous serions dans l’obligation de radicaliser le mouvement par la dissidence des agents des Bouches-du-Rhône.
Les agents de l’ONCFS des Bouches-Du-Rhône